Les Chroniques de Jacôte,

Fécamp le 11 août 1999 nous y étions...

Tout le monde se prépare, on essaye les lunettes, même Madame Culverville a les siennes, la Pépète a poussé le luxe de mettre le coockring, sait on jamais si pendant le bref instant de nuit la plage se transformait en Back-room autand être prête

Bon il semblerait que ça vienne, mais je ne sais pas si on va pouvoir voir quelque chose malgrés ces nuages

Un bout de ciel apparait, pourvu que l'acte sexuel tant attendu par des milions de personnes ait lieu à cemoment là

Ca y est nous y sommes, les gens ajustent leurs lunettes, je saisis mon appareil photo et tant bien que mal, à main levée, sans pied, et oui il y a un moment que je ne le prends plus, je deviens actif pour une fois et je prends ces instants magiques et inoubliables. Tout doucement la lune approche du soleil...

... et sous les regards médusés de toutes mes soeurs, même la Pépète garde son self contôle, et n'emet pas les éructions qu'avait prédit la Gwendo, jalouse d'être restée à Paris
C'est la nuit noire, il est pratiquement midi trente. Midi, minuit, la Pépète ne sait plus trop où elle en est, elle est toujours aussi calme, elle ne pète même pas, pas un rot aucun bruit.

 

Une pensé pour Gwendo, qui est peut être en train de se prendre Mir sur la gueule.

C'est fini, le ciel redevient bleu. On s'empresse de téléphoner à Paris, Paris est toujours là, Gwendo ne réponds pas mais son répondeur fonctionne, c'est bon signe...

La vie peut continuer!

   Bon les quatres connes, c'est fini, on les retire ces lunettes!!!

 
La photo souvenir, la Jacôte entourée de la Pépète et de la Bucherônne