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Les Chroniques de Jacôte ...
Je suis chez moi complètement crevé, la semaine vient de se terminer, péniblement j'achève le ménage, et aujourd'hui je fais l'impasse sur la serpillière, lorsque le téléphone sonne, un certain Jean Marc, on avait été en contact par mail il y a quelques temps et on avait envie de se rencontrer bien qu'il fut en province, et il devait m'appeler, lorsqu'il serait de passage à Paris. On s'était échangé nos photos par mail, et j'avais été agréablement surpris, il était jeune, et mignon en plus, apparemment, ma photo ne l'avait pas fait fuir, et il était toujours OK pour qu'on se voie. Bien que complètement fatigué, je traîne un rhume depuis le début de la semaine, je ne pus résister à l'appel de la chaire fraîche, j'avais besoin de liposomes, et on convînt de se voir dans la soirée. Vers 22h45 il me téléphone et on se fixe donc rendez-vous à une station de métro. J'irais le chercher en jacôtemobile. Je le vis arriver tout mignon, tout frais, encore plus joli en vrais qu'en photo, je l'invite donc à monter et après un bref échange nous décidons d'aller chez moi. Je garais la voiture au parking, et nous attendîmes l'ascenseur. A l'intérieur, sous l'éclairage cru des néons il commença à me dévisager d'une drôle de façon. Ca les filles un conseil, lorsque vous amenez un mec à la maison évitez les éclairages trop crus, ça vous fout en l'air tout votre plan. Bref on arriva chez moi, et je lui offrais à boire, après qu'il m'eut demandé d'aller aux toilettes. Nous commençâmes à discuter, il me parlait de son petit copain, car il en avait un. Ca s'engageait très mal, de plus il commençait par dire, qu'entre les photos et la réalité, c'était différent de se retrouver à coté d'un inconnu, bon voyant son malaise, je le libérais, ainsi que moi par la même occasion, en lui disant que s'il voulait partir, il pourrait avoir un train maintenant. Il était d'accord, et je le raccompagnais donc à la gare. En rentrant j'étais désespéré, et je finis la soirée à genoux devant la cuvette des chiottes lapant comme une malheureuse l'eau de la cuvette où le petit minou s'était soulagé
On peut dire que cette année nous sommes gâtés, en effet nous avons coup sur coup trois, trois week end de trois jours, royal me diriez vous, oui peut être mais je dois dire que j'ai déjà du mal à m'occuper deux jours, alors trois jours vous n'y pensez pas. Mais bon bien que j'ai dit récemment à la Pépète un lundi soir, ouf ! vivement demain qu'on aille à l'usine, on se ferra moins chier. Bon malgré ça, il vaut mieux être chez soi. Mais toujours comme dirait la Miss, la Jacôte a un gros problème, elle ne se supporte pas chez elle. Oui en effet chez moi bien que j'ai de quoi m'occuper, ne serait-ce déjà en chroniquant pour vous mes chers lecteurs aimés, et en rendant ce site plus attrayant. Mais voilà, je rame avec un vieux PC 133 MgHtz et au bout d'un moment le mulot en a assez et me jette. D'ailleurs parfois le soir lorsque je fais du Minitel ou de l'Internet, et bien au bout d'un moment il se met pédaler, normal me diriez vous avec toutes les pédales qu'il y a, donc mon P133 rame, le mulot ne veut plus avancer, donc il me dit : Jacôte va te coucher, et là je cède, car de toutes façons, comme on est pratiquement tous d'accord, ça ne mène à rien, mais alors à rien si ce n'est perdre son temps et son argent, déjà elles ne veulent pas bouger, et quand vous les mettez au défi de bouger, elles ne peuvent pas me recevoir, et puis après il est trop tard. Les pauvres Chéries, elles me veulent tout à coté de chez eux Et des jeunes TBF TBM TRES PRES TRES ARGENTE, très connes les pauvres, bon puisque c'est comme çà je vais me réfugier seul sous ma couette sur mon matelas bi-portance, bi- portance que de non bien sur .
Ce week end je ne verrai pas la Pépète ni la Gwendo, en effet elles sont d'anniversaire. Et pas n'importe quoi, tout le week end de trois jours dans un château, c'est sur moi avec mon F1 je ne peux lutter, et mesdames messieurs tenez vous bien, figurez vous qu'elles vont jouer les stars, imaginez, la Pépète va nous faire la Patricia Carly, "arrête arrête ne me touche pas", on quoi rêver, la Pépète qui dit ça, moi je verrais plutôt "Oh oui oh oui touche moi touche moi", plutôt Samantha Fox oui!!! Touch me touch me et au niveau des seins elle n'a rien à lui envier! Et Gwendo les Suprêmes, il doit y avoir un moment qu'elle ne les a pas vus, elle doit confondre avec le fromage" oui notre Gwendo ressemble plus aux "Suprêmes des Duc" qu'à autre chose! Ah ça s'il y a des photos je me promets de les mettre ici, il n'y a pas de raison! En attendant et c'est une rare fois où je vous le conseille, regardez Jean Pierre Foucault sur TF1 dans "les années tubes" sait-on jamais, on risque de les voir, depuis qu'elles se prennent pour des stars, oui tu parles de stars, plutôt de start-down!
Nous sommes le dimanche après-midi je ne sais pas trop ce que je vais faire, mais je ne peux rester ici à tourner en rond, alors je me décide à aller essayer le "FULL METAL, le dimanche en matinée c'est relax, d'après les agenda de la semaine du magasine Em@le, allons donc nous relaxer. Je prends donc la jacôtemobile, et pour du relax c'était du relax un vrai bordel dans Paris ça circulait très mal, de plus j'ai toujours tendance pour gagner du temps de passer par des endroits encore plus encombrés. Bref j'arrive à proximité du Marais une voiture quitte sa place, je m'y engouffre tout de suite. Je me dirige ensuite vers le lieu de convoitise, tout excité de visiter un nouvel endroit. Je sonne donc et le bruit caractéristique d'une gâche électrique raisonne, je pousse la porte et me voilà plongé dans l'obscurité, en essayant de savoir où il fallait aller. Je connaissais du temps de feu l'Equivoc une boite sympa, mais là j'étais un peu perdu, et me retrouvais dans les toilettes, bon on n'allait pas commencer par-là, il fallait descendre, c'est en bas que ça se passait. Je pris donc les escaliers en essayant de ne pas me casser la gueule, car voyez vous, lorsque vous venez du dehors, et que subitement vous vous trouvez dans l'obscurité, j'ai toujours un peu de mal à m'habituer, c'est ma cataracte sans doute. Pas trop de monde en bas, un charmant jeune homme me sert une boisson, et je pars à la découverte des lieux. Que de souvenirs me reviennent, le temps des jours heureux, j'étais amoureux, j'avais mon mari avec moi, et nous dansions comme des folles qu'on était à l'époque, sur des rythmes comme on aimerait en entendre plus souvent. Bon Jacôte, le passé, c'est le passé, on ne va pas y revenir. Je m'assois dans un coin, pour subitement m'apercevoir que je suis assis dans les urinoirs, la gourde que je suis. Dans une cabine un mec attend, pas trop mal, je semble l'intéresser, je rentre donc pour m'embarquer dans un voyage qui ne sera que de courte durée. En effet ce charmant ne me trouve pas assez hard, j'avais envie de lui dire qu'aujourd'hui c'était relax, mais résigné resté sur ma faim je sortis, et me trouver un tabouret pour m'asseoir au bar. Il commençait à avoir un peu de monde, on se dévisageait, j'allais faire un tour, et je pris place en cabine, comme une hôtesse de l'air attend ses passagers. Il y en a bien qui me regarde, mais la destination ne doit pas trop leur plaire, finalement un mec passe et repasse plusieurs fois, je remonte le bustier, le paquet en avant, j'attends. Le voilà qui monte à bord de l'appareil, ah! "toute la vie j'ai rêvé d'être une hôtesse de l'air", Thé café, tea coffee, mais, idiote, redescend sur terre ou plutôt sous terre vu que nous nous trouvions au sous-sol. Ha ! Tu parles d'une hôtesse de l'air, oui, hôtesse de sous-sol. Bon voyons voir quelles prestations ça va être, déjà ça commence mal et quand je dis mal, c'est dans tous les sens du terme. Le voilà qu'il s'agrippe à mes seins, croyant sans doute que c'était les boutons d'un poste de radio, et il devait sans doute pas bien fonctionner car il tournait, bon je lui fais comprendre que ça y était la station était bien réglée, le volume également, que ça allait, et puis maintenant le voilà qui commençait à me donner des fessées. Qu'est ce que j'avais fait de mal, pour mériter ainsi une si forte correction. Ca s'engageait très mal on traversait une zone de fortes turbulences, il fallait mettre fin au voyage, d'autant que maintenant il s'en prenait à mes c... ouille ça faisait mal, et qu'il y tirait dessus croyant sans doute que c'était le signal d'alarme. Ouf! Je me dégageais tant bien que mal en me disant que la prochaine fois je choisirais une autre compagnie. Pas assez hard, trop hard, les après-midi relax vous m'en reparlerez. ( Ca me rappelle d'ailleurs le fauteuil, le fameux relax que vous avez peut être connu dans votre jeunesse, qui s'inclinait à volonté à l'aide d'une manette. Idéal pour regarder l'ORTF). Je retournais au bar me remettre de mes émotions. Je regarde autour de moi, est ce que j'arriverais à faire quelque chose ici ce soir, je repartis donc en quête de celui qui me fera décoller. Je repris place en cabine, et au bout d'un moment je pus décoller sans trop de problèmes cette fois ci. Le voyage terminé, je quittais le Full Metal, que je conseillerai à la Pépète, qui aime les émotions fortes. En retournant à la jacôtemobile je passai devant l'Arène. Ah non Jacôte tu as eu ton compte aujourd'hui, en taureau, et banderilles, tu ne vas pas remettre ça!!!
Me voilant donc regagner mon home j'ai bien dit mon home et non mon homme, snif et une bonne douche purificatrice et hop in the bed!
La journée du 1er mai je la passe avec Sergio, chez lui, nous surfons sur le Net et essayons de mettre au poing quelque chose pour rendre ses Chroniques plus attrayantes. On ne sait trop comment s'y prendre mais on va revoir ça. Moi je suis trop impatient je veux brûler les étapes mais il va falloir structurer un peu mieux pour qu'on puisse s'y retrouver. Ne nous affolons pas je vous réserve encore des surprises.
Cette semaine j'ai été voir au théâtre "De toutes manières". J'avais eu grâce à Citégay une invitation pour deux personnes, et parmi mes surs j'ai choisi Sergio pour m'accompagner, puisque la Pépète et la Gwendo nous avaient snobé précédemment. D'abord merci à William, le webmaster de Citégay, car c'est une pièce géniale très marrante, et on s'y retrouve toutes. Nous avons rigoler à nous en faire ruisseler la chatte. Un conseil il y a des prolongations allez vite réserver sur Citegay.com venez à deux vous ne paierez qu'une place.
Lulu, qui est une de mes lectrices favorites, trouve que parfois mon langage est un peu cru, j'espère que je ne vous choque pas trop, sinon la punition
La Jacôte compose...
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