Ah cette bannière ! Je n'arriverais pas à la faire correctement. Figurez vous, ma bonne sœur Sergio, m'a filé un essai de bannière sur les Chroniques. J'ai eu beau lui expliquer par A+B les couleurs du rainbow, et bien non ! Les couleurs ne sont pas bonnes du tout. Jugez vous- même. Elle est idiote, car elle a tous les moyens chez elle avec des magazines de cul et autres, pour avoir les vraies couleurs, et je ne parle pas des sites web qu'elle visite régulièrement, sans parlez des emissions gays qu'elle regarde grace à la parabole que jalouse Pépète. Bon ma Sergio arrête le poppers, décroche de ta chaise, ça ne va plus. Remarquez, la Jacôte ce n'est pas mieux non plus, car j'ai eu beau essayer de la modifier ou d'en faire une autre, et ben le résultat ce n'est pas ça du tout, donc pour faire simple en attendant, voici donc ci-dessus cette bannière brute de fonderie, pour la finition on verra après. Je ne vais pas vous faire attendre rien que pour ça, d'autant que j'ai un peu de mal avec Dreamweaver ™, et je ne parle pas de Fireworks ™car ne voulant pas travailler avec FrontPage ™de chez Microchiottes, je m'emmêle les doigts, et c'est une catastrophe. Parfois je me dis qu'au lieu de me connecter pour rechercher l'Amour, le parfait dream, je ferais mieux de me consacrer à Dreamweaver ™.

   Bon maintenant on va déménager cette Pépète, elle s'impatiente, ça se passait en octobre de l'année dernière, je situe un peu, car je prends pas mal de retard, et ce n'est pas les mâles qui me prennent.  

Figurez-vous que notre Pépète était bourgeoisement installée, dans un immeuble cossu de l'avenue Parmentier. Elle vivait là depuis bien longtemps, mais voilà, son propriétaire en avait marre des très grandes allées et venues nocturnes, ça nuisait à l'image de marque de l'immeuble. D'autant qu'il était en cours de rénovation, et après avoir fait le ravalement de l'immeuble, bien sûr, car la Pépète s'imagine qu'en se faisant un masque tous les dimanches matins elle va y échapper, mais bon, le devis serait trop élevé, donc laissons lui croire que son masque dominical lui fait du bien. Elle regarderait le jour du Seigneur sur France 2, ça lui réussirait aussi bien.. Et un conseil, éviter de passer la nuit du samedi au dimanche avec elle, car au matin vous risquez de vous croire en plein cauchemar, en la voyant la gueule toute verte avec son masque. Donc cette bâtisse après avoir eu une façade toute neuve, l'entrée avait été refaite, et très bonne idée pour la suite, un ascenseur fut rajouté. La Pépète était reine parmi les reines. Même le maire du XIème, alerté par les voisins des bruits incessants dans la rue avait fait recouvrir l'avenue, de bitume absorbant. Donc ce qui devait arriver arriva, une lettre lui demanda d'aller faire ses cochonneries ailleurs.

Bien sûr par solidarité, nous avons trouvé la solution, Gwendo lui louerait sa cave, uniquement pour passer l'hiver au chaud, et de lui laisser le temps de trouvez un refuge. On n'allait quand même pas la laisser attachée à un arbre au bord d'une nationale.

Mais voilà, c'était ignorer la Pépète, car elle nous a bien surprises, figurez-vous qu'elle s'est trouvée un appartement dans le XIIIème. Qu'avait-elle fait, avait-elle couché avec le Jean ou pire avec la Xavière, on ne le sut jamais, et le mystère restera entier, car elle n'a pu graisser la patte au RPR, puisqu'elle est sans un sou. Donc il fallait se rendre à l'évidence : on allait devoir la déménager, et vu tout ce qu'elle avait emmagasiné chez elle, nous étions toutes inquiètes. Bien sûr, pour l'événement, la Pépète rameuta toutes les sœurs et consorts.

Vient le jour J, la Bûcheronne fut réquisitionnée pour prendre en charge le fourgon, car Pépète ne conduit pas, elle ne connaît que le " Ciao " (sa pétrolette) qu'elle avait à Limoges pour aller draguer. Donc faire le déménagement en " Ciao ", il ne fallait pas y penser. Tout le monde était là, et nous nous retrouvâmes chez elle un samedi matin. Qu'elle ne fut pas notre surprise de voir encore des meubles installés, non vidés, bref, on se demandait par où commencer, et si la Sergio et sa collègue Hélène n'avaient pas pris les choses en mains, je pense que nous y serions toujours. Donc commença les va et vient incessants du 3ème au hall du rdc pour ensuite charger la fourgonnette. Ah! la Pépète nous prend souvent la tête avec le ménage, mais figurez-vous qu'on a cru qu'elle nous faisait un élevage de moutons et je ne parle pas de la hotte de la cuisine, ah c'est sûr la Pépète est maigre, mais oui la graisse ne va pas sur elle, elle se colle à la hotte. Et ses accessoires, non je ne parle pas des accessoires de cuisine, mais ceux qui sont dans un tiroir situé dans sa chambre. Ah! Quelle stupeur j'ai eu, lorsque j'ai pris tout ça, enfin emporté, car vu les engins, j'aurais été dans l'incapacité de me les prendre. Donc je les descendis dans le hall, et on se passait tout ça de mains en mains jusqu'à la camionnette. Bien sûr par précaution je pris soins de prendre et ranger le tiroir avec ses papiers, laissant son tiroir à " jouets " sur le bord du trottoir au vu et au su de tous les passants et voisins, qui ont donc su, pourquoi la nuit il y avait un tel bruit et va et vient chez elle. Bref ils ne sont pas prêts d'oublier ce départ. Et nous voilà donc en route vers le XIIIème à la recherche de sa barre car notre Pépète partait vivre au 16ème étage d'une barre de béton. Nous fûmes agréablement surpris car son appartement est, faut le reconnaître, pas mal, c'en était même dommage de le lui donner, car elle allait tout nous saloper.

On déchargea le camion dans le hall, pendant que la Bûcheronne avec Pépète repartirent vers le XIème, chercher la suite. Pendant ce temps, tant bien que mal, en huchant, nous montions toutes les affaires. Nous utilisâmes l'ascenseur, mais le sommier n'y entrant pas, nous entreprîmes de le monter par les escaliers, en commençant par casser le globe du rdc, en gardant espoir, il nous en restait 16 pour arriver au logis pépitois.

Pendant ce temps-là, heureusement en attendant la Sergio et la Belle Hélène démontaient et préparaient les affaires pour un deuxième voyage. Sinon la suite se déroula normalement si l'on peut dire, on commençait à en avoir marre, et à être fatigués, car bien sûr la Pépète nous laissâmes faire, elle s'est bien débinée, en raccompagnant la Bûcheronne pour aller rendre la fourgonnette. Nous finîmes tous dans un restau chinois, car ça y est, les va et vient notre Pépète installée dans le XIIIème devenait la " Crevette Impériale ".

Voilà, la Pépète est bien installée, et nous sommes en juin 2001 et j'attends toujours la crémaillère !!!!

Vous m'en reparlerez de déménager les copines !!!

Bon ben c'est tout pour maintenant, j'ai pleins de choses à raconter mais je ne sais plus par où commencer, tellement j'ai du retard, allez si vous m'encouragez, je vais m'y mettre...

Bon je n'ai pas eu suffisament d'encouragement snif..... donc nous sommes déja en 2008 et après pas mal de péripécies la suite va arriver.

 

 

mais il court où le p'tit chien.......